Fernando Alonso (Renault) est parti de la pole position et plus personne ne l'a revu, dimanche, à Silverstone. Pas plus Michael Schumacher (Ferrari) que Kimi Räikkönen, 2e et 3e. Aux championnats Pilotes et Constructeurs, la mainmise de l'Espagnol et de Renault devient évidente.

Pourtant, l'écart s'agrandit à chaque course et pas seulement avec Schumacher. Malgré une course solide et un mano a mano, au millimètre, avec la Ferrari de Schumi, Kimi Räikkönen a dû se contenter de la 3e marche du podium. Un résultat mérité pour le Finlandais qui malgré une voiture pas toujours docile ni compétitive parvient à limiter les écarts avec la concurrence.

La hiérarchie est clairement déterminée : Il y a Renault... et Ferrari et McLaren, un peu plus loin. Et... beaucoup plus loin, tous les autres.